Coupe du monde de rugby : tous dans la mêlée !
Le 8 septembre dernier, le XV de France donnait le coup d’envoi de la Coupe du monde de Rugby 2023 face à la Nouvelle Zélande, au Stade de France. Jusqu’au 28 octobre, c’est tout l’hexagone qui va vivre au rythme du ballon ovale. Les enjeux ne sont pas que sportifs et il n’y a pas que sur le terrain que les équipes courent. Dans les coulisses, elles sont nombreuses à pied d’œuvre pour rendre la fête, belle, accueillante et propre !
En tout, sept stades Français accueillent cet événement majeur. Partout en France, les plus grandes équipes au monde s’affrontent sur les pelouses mythiques françaises. Parmi elles, celles de l’Allianz Riviera à Nice et du stade de Bordeaux. C’est là, en coulisses et en toute discrétion, que les équipes de GSF œuvrent sans relâche pour que l’expérience des spectateurs soit, en un mot dire : inoubliable ! Et même si les supporters japonais y ont mis du leur en ramassant les déchets entre les sièges de leurs tribunes en guise de respect et de remerciements du pays hôte… Il faut néanmoins des équipes professionnelles aguerries pour relever le challenge de la propreté lors d’une coupe du monde !
Des équipes à pied d’œuvre
Avant et après chaque match, à Nice et à Bordeaux, GSF engage dans la mêlée ses équipes de professionnels pour transformer l’essai en environnement « sain et propre ». L’occasion franche a été donnée aux collaborateurs de montrer tout leur savoir-faire ! Et d’aller dans les coulisses organiser l’autre « conquête ». Pour cette coupe du monde, les équipes de GSF ont dû réaliser l’exploit de nettoyer tout le stade, les loges Vip, les gradins, les sanitaires, les couloirs de déambulations et les salons en un temps record. À Nice, les matches se sont en effet enchaînés. Quatre en tout, dont deux qui se sont déroulés deux jours consécutifs. « Nous avons œuvré toute la nuit et une partie de la journée entre le 16 et le 17 septembre », entame Brahim.
Propreté et services : transformer l’essai !
En tout, 70 agents ont été sélectionnés. À leur tête, un capitaine : Brahim El Moussaid. Chef d’équipe au stade de Nice depuis 2013, le meneur d’hommes en a vu des événements. Mais celui-ci, « c’était du sport, raconte le manager. Quatre matches en l’espace de huit jours, c’était intense ! » A l’autre bout de la France, « en troisième ligne » les équipes de GSF Altantis ont également donné le meilleur d’elles-mêmes au Stade Matmut de Bordeaux pour prouver leur polyvalence.
Une coupe du monde de rugby « exceptionnelle »
Avec déjà plus d’un million de spectateurs dans les stades à mi-parcours, cette dixième Coupe du monde de Rugby se dessine déjà sous les contours du succès. Un premier constat qui fait déclarer à Jacques Rivoal, le président du GIP France 2023 : « c’est une Coupe du monde de rugby déjà exceptionnelle, surtout quand on se base sur les éditions 2015 en Angleterre et 2019 au Japon. On a dépassé le million de spectateurs dans les stades qui sont pleins et pas uniquement pour les grosses affiches, a-t-il révélé. Il y avait par exemple 33 000 spectateurs pour Géorgie-Portugal à Toulouse. Stade plein. Pour Italie-Uruguay, à Nice, un mercredi à 17 h 45, sous la pluie, il y avait 25 000 spectateurs. Les fans zones sont également un succès avec plus de 770 000 fans accueillis. » Succès également pour GSF, remercié par ses clients et les organisateurs du mondial !
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