À l’occasion de la semaine de la mobilité durable, GSF lance, depuis son siège à Sophia Antipolis et l’une de ses sociétés régionales dans le Nord, un challenge connecté. Des actions qui s’inscrivent dans un projet plus large. En effet, depuis 2022, le groupe participe aux objectifs de neutralité carbone fixés par la France. De manière ambitieuse, à travers une stratégie Climat & Energie, GSF entend ainsi réduire drastiquement son empreinte carbone d’ici 2028. 

La semaine de la mobilité se déroule cette année du 16 au 22 septembre. Temps fort pour les entreprises plus que jamais invitées à repenser leurs pratiques pour favoriser une mobilité durable, cette semaine trouve écho dans les rangs de GSF. L’enjeu est d’importance : au-delà d’une simple question d’image, il s’agit pour le groupe de répondre à des obligations légales tout en participant activement à la transition écologique. Pour GSF, l’enjeu est porté au plus haut. Il répond à une stratégie Climat & Energie lancée depuis 2022. Avec un objectif ambitieux : réduire ses émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2028.

Mobilité durable : les enjeux

« La mobilité durable est un enjeu transverse à nos activités. Il devient incontournable pour favoriser l’attractivité des métiers, fidéliser les collaborateurs et améliorer les conditions de travail. », explique Julie Moscardo, chargée de mission Environnement/Energie.

C’est un enjeu à la fois :

• Social : l’organisation du travail et les interventions sur des sites multiples dans un contexte de congestion des routes de plus en plus important rendent difficile les déplacements.
• Économique : les déplacements peuvent représenter une part importante du budget des collaborateurs.
• Environnemental : les déplacements sont un des postes les plus émissifs de notre bilan carbone.

En effet, cela représente aujourd’hui 33% de nos émissions soit 42 000 T CO2e. « C’est donc un sujet très important dans notre Stratégie Climat & Energie. L’objectif du groupe étant de réduire de 44% nos émissions sur ce scope-là d’ici à 2028. », poursuit Julie Moscardo.

Afin de contribuer à cette réduction, des actions concrètes sur la mobilité durable sont déployées :

• Des accords sont négociés pour inciter les collaborateurs à adopter des moyens de transports alternatifs. C’est le forfait mobilité durable. Il concerne notamment le covoiturage, le vélo ou l’adoption des transports en commun.
• Les opérations et les campagnes de sensibilisation : du 16 au 22 septembre, GSF SAS et GSF Orion Nord lancent notamment un challenge connecté. Via l’application OuiLive, une partie des collaborateurs est invitée à utiliser des transports alternatifs. Le tout en valorisant l’activité physique et sportive.
• Des stationnements réservés aux covoitureurs ont également été mis en place.
• GSF a recours à la plate-forme Blablacar Daily pour faciliter le covoiturage pour les trajets domicile-travail.  

Contexte réglementaire : des obligations à ne pas négliger

Depuis quelques années, la pression réglementaire sur les entreprises ne cesse de croître en matière de mobilité durable. En France, la loi d’orientation des mobilités (LOM), adoptée en 2019, impose aux entreprises de plus de 50 salariés, situées dans le périmètre d’un plan de mobilité inter-entreprises, de négocier un plan de mobilité (PDM) afin de réduire l’empreinte carbone liée aux déplacements domicile-travail. Cette mesure a pour objectif de fluidifier le trafic. Mais aussi de limiter la pollution atmosphérique et d’améliorer la qualité de vie des salariés.

Loi climat et résilience

D’autres obligations réglementaires s’y ajoutent, comme la loi climat et résilience de 2021. Elle prévoit une réduction de 50% des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 par rapport à 1990. Les entreprises sont également encouragées à intégrer des solutions de mobilité douce, telles que le vélo, les transports en commun ou encore le covoiturage, dans le cadre de leur responsabilité sociétale.

Des actions concrètes

Pour atteindre cet objectif, depuis 2022, GSF a lancé une stratégie Climat & Energie de grande envergure. De nombreuses initiatives ont ainsi vu le jour. Au niveau du groupe, certaines sociétés ont notamment déployé le covoiturage tel que GSF AIRPORT avec Karos, ou ont mis en place des flottes de vélos comme GSF TREVISE, GSF MERCURE, ou GSF ORION NORD.

À l’heure où la semaine de la mobilité met en lumière les enjeux de déplacements durables, les entreprises ont tout intérêt à s’emparer de ce sujet pour répondre aux attentes croissantes de la société civile et des pouvoirs publics. En investissant dans des solutions de mobilité verte, GSF se positionne non seulement en conformité avec la législation, mais aussi en véritable acteur du changement vers une société plus durable.