L’hygiène est un concept qui remonte à l’Antiquité. Verbalisé par Hippocrate, les sociétés en ont fait aujourd’hui un secteur d’activité à part entière. Au cours des siècles, le nettoyage et la propreté sont des domaines qui ont su se renouveler. Aujourd’hui, le secteur de la propreté et du multiservices se transforme, s’adapte, se réinvente. De plus en plus technologique, il s’aligne sur les nouvelles tendances du monde du travail d’aujourd’hui et de demain.

S’aligner sur la montée en puissance des technologies

Les raisons de cette mutation technologique? Chez GSF, Groupe de propreté et de services aux entreprises, les experts analysent cette tendance par un contexte en pleine transformation : « Le mètre carré de l’immobilier qui flambe, en passant par la crise sanitaire, le développement du télétravail ou bien encore la volonté de plus en plus accrue d’améliorer la qualité de vie au travail, obligent les entreprises à se repenser », explique Laurent Prulière, Directeur du Service Recherche et Développement. Résultat : « Les entreprises doivent désormais prendre en compte tous ces critères pour garder leurs collaborateurs et éviter le turn-over. Elles doivent également imaginer des bureaux plus accueillants et intégrer pour cela de plus en plus de digitalisation. Nos clients ont donc modifié leurs process. Nous ne pouvions pas rester à l’ancienne. Nous nous sommes donc alignés sur ce modèle de l’industrie 5.0. »

Un secteur de plus en plus technologique et digital

Autant de nouvelles tendances qui poussent les sociétés multiservices à innover. A l’image de GSF qui ne manque pas d’imagination en créant « Les services agiles Agora ». Cette solution digitale pensée, conçue et expérimentée par le Groupe révolutionne le nettoyage en proposant une technologie pleine de bons sens : nettoyer et désinfecter les bureaux ou les espaces en fonction de leur utilisation. Une détection de présence, réalisée grâce à des systèmes connectés, permet ainsi de préconiser des plans de tournée simples et efficaces. Il fallait y penser !

Les innovations se multiplient : utilisation de technologies d’exosquelette pour répartir le poids de charges lourdes sur tout le corps, de la cobotique ou encore de la lumière pulsée, une fréquence qui n’existe pas sur terre et qui permet de désinfecter des surfaces en quelques secondes.

La technologie au service de l’environnement

Mais les démarches ne s’arrêtent pas à des questions de tendances. La technologie, c’est aussi la quête d’un idéal vertueux qui participerait au progrès et à un monde meilleur. Des enjeux planétaires environnementaux incitent désormais à revoir les méthodes. « Pour cela nous orientons nos choix vers de la chimie alternative et des solutions technologiques qui permettent de générer des produits sur place pour limiter les stockages et les réduire les transports », indique Laurent Prulière.